Le directeur de la CAS, Elinor Devalon, a souligné lors de ce lancement l’importance de restaurer la confiance du public envers les institutions. «Nous devons instaurer des pratiques qui inspirent la confiance et l’efficacité dans la gestion des affaires publiques» a-t-il déclaré.

Le ministre des Affaires sociales et du Travail, Georges Wilbert Franck, a salué cette initiative en soulignant que la quête d’éthique concerne non seulement les agents publics, mais aussi tous les acteurs du système, y compris les bénéficiaires et les fournisseurs. Il a également recommandé la création d’un dispositif de contrôle d’alerte interne pour signaler les comportements douteux.

Au cours de l’atelier, des enquêteurs de l’Unité de Lutte contre la Corruption (ULCC) ont rappelé que la lutte contre la corruption doit s’articuler autour d’approches préventives et répressives, favorisant une administration publique plus intègre et transparente.

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