Cette action a déclenché une cascade de réactions tout au long du week-end. Des groupes qualifiés d’ultra-droite par le Huffington Post ont brandi des banderoles le long de la Seine, alimentant une vague réactionnaire sur les réseaux sociaux et dans l’espace public. Marion Maréchal, vice-présidente du parti “Reconquête”, a même affirmé sur Europe 1 que Nakamura n’avait pas sa place pour représenter la France aux JO, arguant qu’elle ne chantait pas en français.
Malgré ces attaques, Nakamura a reçu un soutien massif. Des personnalités politiques telles qu’Amélie Oudéra-Castéra et Antoine Léaument ont publiquement exprimé leur soutien, tout comme de nombreux artistes, dont Dadju, qui a appelé à soutenir Nakamura pour qu’elle puisse se produire lors de la cérémonie. Le comité d’organisation des JO de Paris a également exprimé son soutien total à “l’artiste française la plus écoutée dans le monde”.
Pourtant, au milieu de cette controverse, la rumeur de la participation de Nakamura aux JO n’a pas été confirmée ni par les organisateurs ni par l’artiste elle-même, laissant planer une incertitude sur la situation.
Ces attaques racistes ternissent non seulement l’image de la France alors qu’elle se prépare à accueillir les JO, mais elles soulignent également la nécessité continue de lutter contre le racisme et la xénophobie dans la société française. Il est temps de condamner fermement de telles attaques et de soutenir les artistes qui en sont victimes.
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