Les routes périlleuses, sous le contrôle des gangs, n’ont pas dissuadé ces familles de quitter la ville, à la recherche de sécurité et de refuge. La plupart des déplacés, majoritairement des chefs de famille accompagnés d’enfants, ont trouvé refuge dans des villes telles que Grande-Anse, Sud, Nippes et Sud-Est.

Le rapport souligne que bon nombre de ces déplacés internes avaient déjà été contraints de déménager à plusieurs reprises en raison de la violence et de l’insécurité persistantes. Beaucoup d’entre eux avaient d’abord trouvé refuge chez des proches avant de prendre la décision difficile de quitter la capitale.

La situation, documentée par la Matrice de suivi des déplacements (DTM) de l’OIM, révèle un tableau alarmant de la crise humanitaire qui sévit en Haïti. Cette initiative vise à collecter des données sur les déplacements dans les zones à forte mobilité, mettant en lumière l’ampleur du phénomène et les caractéristiques des personnes déplacées.

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