D’après certaines informations, ces étrangers seraient des formateurs de la police nationale, et non des mercenaires. Toutefois, le CPT critique sévèrement la Primature pour n’avoir donné aucune notification officielle concernant leur présence.
Une omission que le CPT, dirigé depuis peu par Leslie Voltaire, pourrait interpréter comme un manque de transparence et de collaboration. Ce différend vient accentuer le bras de fer entre la Primature et le CPT, alimenté par une série de tensions depuis la nomination de Voltaire à la présidence tournante de cette structure.
Alors que le pays fait face à une crise généralisée, cet épisode ajoute un poids supplémentaire à l’instabilité de l’exécutif. La population, quant à elle, reste dans l’incertitude face à des décisions qui semblent se dérouler à huis clos, loin de ses préoccupations.