Son passage à la Primature a été marqué par une attitude qualifiée d’arrogante et un style de gestion qui n’a laissé personne indifférent. Selon des sources bien informées, elle conserve encore des biens publics, défiant ainsi les exigences de restitution imposées lors de son départ.

Malgré ce passif, il semblerait que l’ancienne responsable de la communication s’emploie discrètement à s’infiltrer dans d’autres institutions de l’État, comme si de rien n’était. Ce comportement illustre une culture de l’impunité que de nombreux citoyens dénoncent aujourd’hui.

Si certains espéraient un mea culpa ou, à tout le moins, une prise de responsabilité de sa part, il n’en est rien. Rouseline Guillaume se distingue par son refus de rendre des comptes.

La Primature, de son côté, a décidé de ne plus tolérer ces agissements et envisage des mesures fermes pour récupérer ce qui revient légitimement à l’État. Dans un pays où chaque gourde publique devrait être investie dans le bien-être collectif, de tels comportements ne peuvent plus être tolérés.

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